La fausse morte,
Publié le 28 Août 2012
Comme un phénix, je renais
Mon cœur bondissant comme un fou
Dans ma poitrine. Tes mots si doux
Me défont de ma torpeur glaciale
Et mes lèvres esquissent enfin un sourire
De plaisir. Mon amour n’a point de frontière
Connaît juste la misère
De ton absence
Et de tes silences
Mais, il est là ancré
Dans l’attente…
Un mot et mon souffle
Jaillit de ma bouche.
Un instant seulement suffit où se couchent
Nos tendresses trop longtemps contenues.
A jamais.
L.G.