La femme coquelicot,
Publié le 23 Octobre 2012
Regardez cette femme
Avec ses lèvres vermeilles
Un sourire d’elle, vous émerveille
Et sa beauté croisée,
Vous ne pouvez l’oublier.
En un souffle de vent,
Elle s’éparpille dans la nature,
Fragile et sure
D’elle, pourtant.
Puis reviendra
Tout en beauté
Pour à nouveau vous hanter.
Elle est belle
Et vous ensorcelle
Et vous fait l’effet d’une douce fleur
Qui fait battre bien fort votre cœur.
Dites-lui des mots d’amour
Qui glissent à son oreille comme du velours
Et vous verrez ses joues s’empourprer.
Mais aimez-la
Et gardez-la
Car comme le coquelicot
Elle est frêle et sensible
Et si vous êtes sot
De la laisser partir
Eligible, de nouveau, elle sera
Pour un autre bonheur
Car elle, ce qu’elle veut, c’est son âme-sœur.
Au grès du vent, comme une fleur, elle étale
Ses beaux pétales
Et disperse son désir
De conquérir
Pour l’éternité
Son bien aimé.
L.G.